Annonce de la séance du 26 mars 2025 : Philippe Aguignier sur les marges de manoeuvres financières des autorités chinoises face aux conséquences de la crise immobilière

La prochaine séance du séminaire BRICS aura lieu mercredi 27 mars à 18h à la Maison de la Recherche de l’Inalco, 2 rue de Lille 75007 Paris (et en ligne, lien zoom
https://zoom.us/j/2458251486?omn=93197850463 / ID de réunion: 245 825 1486)).

Elle recevra :

Philippe Aguignier

(Inalco, Sciences Po et institut Montaigne)

Sur le thème :

Les marges de manoeuvres financières des autorités chinoises face aux conséquences de la crise immobilière.

 

Résumé :

L’intervention examinera les contraintes financières, fiscales et budgétaires auxquelles est soumise aujourd’hui l’économie chinoise. Elle analysera comment ces contraintes compliquent pour les dirigeants la mise en œuvre des réformes structurelles qui seraient nécessaires pour rendre son modèle économique moins dépendant que par le passé du moteur de l’investissement dans l’immobilier ou les infrastructures.

L’intervenant :

Philippe Aguignier enseigne l’économie chinoise à l’Inalco et à SciencesPo ; il est aussi chercheur associé à l’Institut Montaigne. Ses travaux et publications récents portent sur les finances locales, le secteur bancaire, les risques d’instabilité financière ainsi que sur les perspectives d’internationalisation de la monnaie chinoise.

Prochaine séance (9/04) : l’économie russe dans la guerre

Annonce de la séance du 12 mars 2025 : Natalia Bracarense on Women-led Agroecological Movements in Brazil

La prochaine séance du séminaire BRICS aura lieu mercredi 12 mars à 18h, à la Maison de la Recherche de l’Inalco, 2 Rue de Lille 75007 Paris, Salle Silvestre de Sacy.
 
Elle recevra :
 
Natalia Bracarense
(Sciences po Toulouse)
Sur le thème : 
 
Women-Led Agroecological Movements in Brazil:
Illustrations of Triple Movement
 
Abstract 
The present paper applies the feminist institutionalist concept of a triple movement to Brazil to shed light on the country’s contradiction regarding the so-called development. Starting from questioning what is development from an eco-feminist and post-colonial perspectives, the analysis reveals a reality that goes beyond the typical weak democratic institutions of a semi-peripheral country unable or unwilling to lift a significant share of its population out of the margins. A deeper institutional analysis, focused on bottom-up movements, more specifically on the agrarian women’s coalition behind the Marcha das Margaridas, simultaneously unveils their socio-environmental care work as the “feminized left hand of neoliberalism”, on one hand, and as a path for another possibility, for an alternative model, on the other hand.